Circuit n°2 Vallée d'Argelès - Cap de Mourquey
Beaucens
Circuit n°2 Vallée d'Argelès - Cap de Mourquey
Difficile
Difficulté17,6km
Longueur+1146m
Dénivelé positif-1146m
Dénivelé négatifBoucle
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Les 5 patrimoines à découvrir
- Flore
Bruyère arborescente
La bruyère arborescente est ici bien implantée dans ce milieu de landes sèches, avec un micro-climat chaud.
Cette plante est assez peu représentée sur le massif pyrénéen, d'où son importance patrimoniale. Les vallées des Gaves abritent avec les Pyrénées-Orientales les principales station de bruyère arborescente de la chaîne pyrénéenne. - Architecture
L'ancien prieuré Saint-Orens
Situées dans un véritable écrin de verdure où il fait bon déambuler aux premières heures de la matinée, les ruines du prieuré de Saint-Orens représentent une des surprises de cet itinéraire. Ces vestiges laissent présager la grandeur de ce joyau d'architecture. Construit sur le lieu de l'ermitage d'Orens, devenu évêque d'Auch au Vème siècle, l'église date des XIème et XIIème siècles. La petite chapelle d'Ortiac, dont une partie du mobilier provient d'éléments récupérés au prieuré de Saint-Orens, est également à découvrir. Remarquable charpente en tilleul, clocher aux pignons typiques de la vallée. - Point de vue
Cascade de Paspich
La cascade de Paspich, est l'une des nombreuses cascades cachées ici ou là dans ce beau vallon.
Celle-ci est visible depuis la piste à travers la frondaison des arbres, sur le versant opposé de la vallée. - Petit patrimoine
La chapelle ruinée de Bédouret
Cette chapelle dédiée à la Vierge était située dans le haut du territoire de Béoucén, dans un lieu autrefois couvert de bouleaux (« bédouts » en gascon) d'où le nom de Bédouret, synonyme de boulaie. Elle aurait été bâtie en même temps que l'église de Soulom au Xème siécle. Suivant une légende, les maçons qui construisaient les deux églises se jetaient mutuellement les outils par-dessus la vallée qui sépara Béoucén et Soulom ! - Faune
Le circaète Jean-le-Blanc
Le Circaète Jean-le-blanc a un plumage brun uniforme par-dessus, contrastant avec les parties inférieures qui sont blanches et délicatement mouchetées de brun. Sa tête large et plus sombre apparaît comme disproportionnée par rapport au reste du corps. Le Circaète Jean-le-Blanc vole à une altitude d'une trentaine de mètres lorsqu'il chasse. On peut cependant le voir s'élancer en piqué depuis une hauteur plus importante (jusqu'à 400 mètres) sur une proie. Le Circaète Jean-le-Blanc se nourrit essentiellement de couleuvres. Si elles sont petites, il les capture vivantes et les emporte jusqu'à un perchoir où il les dévore. Si au contraire, la couleuvre est grande, il la tue au sol avec de violents coups de bec, avant de l'emporter. Les reptiles sont saisis à la nuque et tués.
Météo
Profil altimétrique
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